pour trois voix amplifiées, brosses à cheveux, tubes de PVC et grand orchestre – 2019, env. 35′
éditions Peters, partition en location : EP 14392
Création 1er et 2; mvts: 10 mai 2010, neue Vocalsolisten Stuttgart (Truike van der Poel, Martin Nagy, Andreas Fischer) & Bielefelder Philharmoniker, dir.: Alexander Kalajdzic, Rudolf-Oethker-Halle, Bielefeld.
Création de la pièce complète: 19 Januar 2020, Truike van der Poel, Martin Nagy, Andreas Fischer, deutsches Symphonie Orchester Berlin, dir.: Johannes Kalitzke, Festival Ultraschall, Berlin.
Commande de l’Université de Bielefeld à l’occasion de ses 50 ans (Festakt)
Instrumentation :
– 3 Singers: 1 Mezzosoprano, 1 Tenor, 1 Bass
– 2 Flutes, 2 Oboes, 2 Clarinets, 2 Bassoons
– 4 Horns, 3 Trumpets, 3 Trombones, 1 Tuba
– 1 Timpani player, 2 Percussionists, 1 Grand piano
– Strings
– 1 ingénieur du son
Note de programme:
I.- L’art d’induire en erreur [on the art of misleading / die Kunst der Irreführung]
II.- L’enfance de l’art
III.- ו (Souviens-toi de ton futur)
Une oeuvre sur la créativité, sur l’art et l’illusion, sur les pensées divergentes et sur le labyrinthe de la vie, dédié à mes étudiants en composition. Textes d’Antonin Artaud, du rabbin Nahman de Bratslav, de Friedrich Nietzsche et al.
«Le prix à payer pour être artiste, c’est que l’on perçoit comme ‘contenu’, comme ‘matériau lui-même’ ce que tous les non-artistes n’appellent que ‘forme’ », F. Nietzsche (deuxième mouvement).